Bienvenue abord !
Pour tous ceux qui veulent suivre mes escales dans les mers du Sud.
Votre capitaine, Michel

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jeudi 12 janvier 2012

Un nouvel équipié

Vendredi dernier est arrivé mon nouvel équipier Munir. Une personne que j’ai trouvée sur internet. Très peux d’expérience et qui na jamais connue la navigation en mer, il a un voilier de 25 pieds et il tire des bords dans le bassin de la ville de Québec depuis trois ans. Donc c’est logique qu’il veuille allez plus loin dans son expérience et apprentissage, vu qu’il adore naviguer a voile.

Mais la différence entre le rêve et la réalité est parfois très différente. Hier après seulement 4 jours Munir quitte le bord.

Loin de moi l’idée de diminuer ou d’accusé Munir de quoi que ce soit, bien au contraire il est seulement victime de l’image qu’ont ce fait de la navigation à bord d’un voilier. Pour avoir communiqué des dizaines de personnes voulant vivre cette aventure, je réalise qu’il y a certaine constante; ils veulent naviguer et s’arrêter le moins possible. Ils veulent naviguer lorsqu’il vente et ne s’arrêter que lorsqu’il ne vente plus.

La réalité est très loin de cela car lorsqu’on vie abord d’un voilier depuis plusieurs mois, on est très heureux de s’arrêter uniquement pour le plaisir de s’arrêter et de naviguer par vent calme……pourquoi ce faire brasser inutilement et de risquer de briser le bateau, car on est en vacance.

Vous voyez le contraste entre les besoins, les uns qui aspirent au grand frisson et les autres aux simples plaisirs de vivre abord de son voilier.

Si je parle des équipiers aujourd’hui c’est pour donner un peu d’information à ceux qui cherche un embarquement, et qui désirent vivre les embrun qui jaillissent au dessus de la proue jusqu'à la station de pilotage a l’arrière, de vérifier à deux fois avant d’accepter un embarquement car vous risquez d’être déçus et ne pourrez d’aucune façon influencer le maître de bord de vous faire vivre votre grand frisson si la sécurité des gens ou de son bateau sont en cause.

Aussi les temps d’arrêt son souvent très long dans les escales, pour de multiples raisons; réparation, entretient, fatigue accumulé et autre, mais ces temps d’arrêt font partie intégrante du voyage.  Mais c’est très difficile à vivre pour celui qui rêve d’action d’être dans l’inaction et de n’avoir pas grand-chose à faire sur le bateau.

Il y a bien d’autre point que j’aimerai aborder ici, comme l’argent, les taches, la bouf et bien d’autres sujets. Je garde cela pour une autre fois, mais les relations capitaine-équipier sont à démystifier.

Et pour ceux qui ce demande ce que je vais faire sans équipage, et bien mon bateau ce manœuvre comme un charme en solitaire les amis.

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